BRM270 (extrait de 7 plantes) cible les cellules souches cancéreuses et augmente la chimiosensibilité du cancer et du glioblastome

Actualité 719 du 25 août 2020

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L'original

Auteurs : Nisansala Chandimali 1 2,  Hyebin Koh 2 3,  Jihwan Kim 4,  Jaihyung Lee 5,  Parc Yang Ho 6,  Hu-Nan Sun 7,  Taeho Kwon 8

1-Centre de recherche sur la convergence en immunothérapie, Institut coréen de recherche en biosciences et biotechnologies (KRIBB), Daejeon 34141, République de Corée.
2-Département de génomique fonctionnelle, Université des sciences et technologies, Daejeon 34113, République de Corée.
3-Centre de recherche et de ressources animales futuristes, Institut coréen de recherche en bioscience et biotechnologie (KRIBB), Cheongju-Si, Chungbuk 28116, République de Corée.
4-Korean Convergence Medicine Center, 100 years Oriental Medical Clinic, Séoul 04783, République de Corée.
5-Epigenetics Drug Discovery Center, Haeam Convalescence Hospital, Gyeonggi 12458, République de Corée.
6-Evidence-based Medicine Center, Park Yang Ho BRM Institute, Séoul 07163, République de Corée.
7-Collège des sciences et technologies de la vie, Université agricole du Heilongjiang Bayi, Daqing, Heilongjiang 163319, République populaire de Chine.
8-Primate Resources Center, Institut coréen de recherche en biosciences et biotechnologies (KRIBB), Jeonbuk 56216, République de Corée.

Résumé
Au cours de la dernière décennie, un certain nombre d'études ont démontré la résistance des cellules cancéreuses aux médicaments conventionnels et ont reconnu cela comme un défi majeur dans le traitement du cancer. Tout en essayant de comprendre les mécanismes sous-jacents de la chimiorésistance, plusieurs études ont suggéré que la présence de cellules souches cancéreuses (CSC) dans les tumeurs est l'une des principales voies contribuant à la résistance. La chimiorésistance conduit à l'échec du traitement du cancer et aggrave le pronostic des patients. Les composés naturels à base de plantes attirent l'attention en tant que stratégie alternative de traitement du cancer. Ces composés peuvent être efficaces contre des cellules chimiorésistantes soit seules, soit en synergie avec des médicaments conventionnels, sensibilisant les cellules cancéreuses et améliorant l'efficacité thérapeutique. BRM270 est un composé naturel fabriqué à partir de sept plantes à base de plantes (Saururus chinensis, Citrus unshiu Markovich, Aloe vera, Arnebia euchroma, Portulaca oleracea, Prunella vulgaris var. lilacina et Scutellaria bacicalensis ) utilisés en médecine traditionnelle asiatique et a le potentiel de cibler les CSC. Plusieurs études ont démontré les effets positifs du BRM270 contre le cancer chimiorésistant et sa synergie avec les médicaments anticancéreux existants, notamment le paclitaxel et le géfitinib. Ces effets ont été observés contre divers types de cancer, y compris le cancer du poumon non à petites cellules résistant (NSCLC), le glioblastome, l'ostéosarcome multi-résistant, le cancer du col de l'utérus, le cancer du pancréas et l'hépatocarcinome. La présente revue examine les effets du traitement BRM270 contre la chimiorésistance associée au SCC dans les types courants de cancer.

Mots clés : BRM270 ; cellule souche cancéreuse ; chimiorésistance ; multi-résistante aux médicaments ; composé naturel ; cancer du poumon non à petites cellules, glioblastome.

Vocabulaire

Phyto
Préfixe d'origine grecque indiquant une relation avec les plantes. On connait les produits phytosanitaires, les insecticides, les fongicides, les herbicides souvent controversés comme le glyphosate qui soignent les plantes attaquées par des maladies.

BRM 270
BRM270 est un composé naturel fabriqué à partir de sept plantes à base de plantes (Saururus chinensis, Citrus unshiu Markovich, Aloe vera, Arnebia euchroma, Portulaca oleracea, Prunella vulgaris var. lilacina et Scutellaria bacicalensis )

Cellules souches et cellules initiatrices de glioblastome
Il y a 2 catégocies de cellules souches du glioblastome, celle des parents au centre du cerveau et celle des enfants en bordure de tumeur.
Au départ il y a les cellules souches résiduelles de notre développement embryonnare, au centre du cerveau dans la zone sous-ventriculaire. Il y a ensuite les cellules sonches initiatrices de la tumeur qui elles se trouvent toujours en périphérie de la tumeur où elles se cachent. Ce sont ces cellules qui sont à l'initiative de la tumeur et qui controle l'organisation de la tumeur car les cellules discutent entre-elles. Pour nourrir la tumeur, ces cellules souches envoint en direction des vaisseaux sanguins des messages et de nouveaux vaisseaux sont créés, de mauvaise qualité qui laissent passer les petites molécules comme le gadolinium. On arête les messages avec Avastin mais lorsque cela ne marche plus elles envoient l'information aux parents au centre du cerveau qui leur envoie des vaisseaux sanguins tout prets qu'il suffit de poser. On discute beaucoup.

Pubmed : 32831922

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